Reprenons l’idée que la politique oscille entre deux pôles :
- celui du nationalisme, basé sur l’idée de force de la nation soumise à un chef, et de la compétition individuelle et internationale comme moteur
- celui de l’humanisme, basé sur un idéal démocratique étendu à l’humanité toute entière, où la justice équilibre les différentes libertés.
La réalité des gouvernements se place hypocritement plus ou moins entre les deux.
Les illustrations suivantes (ici au format pdf), schématisent ces systèmes. Pour juger du système en place, on peut rechercher les différents moteurs faisant tourner le cercle politique dans le sens vertueux d’un progrès vers l’humanisme ou l’enfermement dans le nationalisme.